SIDA: 30 millions de morts – le préservatif interdit par BOUTIN/BARJOT/FRANÇOIS

« La maladie a déjà fauché 30 millions de vie, alors que les pays les plus pauvres n’ont pas une égalité d’accès face au traitement. Et quelque 34 millions de personnes vivent avec le VIH dans monde, dont 1,8 million environ décèdent chaque année. »

J’aimerais poser une seule question au Pape.  » Saint Père dites-nous comment cela se passe dans le ciel de votre Dieu. Si, comme promis, nous devons, toutes et tous, nous retrouver dans le Royaume du Père Souverain des cieux, on doit pouvoir estimer que la foule des ressuscités est déjà considérable. Je ne sais combien d’êtres humains ont existé avant nous mais ils doivent bien être au minimum un milliard et certainement beaucoup plus.

Je ne parviens pas à imaginer la foule dispersée soit aux enfers de Satan, soit au Purgatoire, soit au ciel même où les Justes ont la chance de voir Dieu face à face. Comment se passe l’éternité? Que font tous ces humains? On dit qu’au purgatoire, comme le mot le dit, on se purge, on se lave de ses péchés. De quelle façon?

Jésus ne nous a donné aucune explication concernant le ciel et son organisation. Dommage. Du fait que l’éternité est un non-temps et un non-espace, j’ai instinctivement envie de penser que la meilleure façon de la représenter est le point, considéré comme un concentré extrême, le point ultime jusqu’où peut aller notre imagination.

Question? Qu’est-ce qui se passe dans le dedans de ce point? Les milliards de vivants, une fois morts et ressuscités, dont nous sommes vont devoir s’entasser tous ensemble, se serrant et s’immobilisant les uns contre les autres au point de ne plus avoir d’épaisseur.

Personne, même le Pape le plus malin, ne s’est jamais risqué à nous décrire le ciel. Toutes les représentations que nous ont proposées les prêtres sont toutes fausses. Le ciel est indescriptible pour cette seule raison qu’il est un concentré de négations.

Les prêtres, à la suite de Jésus, nous apprennent à nous priver de tous les plaisirs auxquels nous sommes attachés. Pour entrer au ciel, il faut sacrifier tout ce à quoi nous sommes attachés y compris nos parents, notre famille, les amis, etc. Dans quel but? Devenir des esprits purs, des êtres dépouillés de leur chair, asexués, au regard de qui les choses de la terre n’ont plus aucun attrait.

Qui, à l’exception d’une religieuse, d’un religieux, est d’accord pour choisir ce chemin des sacrifices? Faut-il être convaincu que ce choix de dépouillement total, de rupture avec la terre et ses attraits, vaut la peine. Une telle privation ne peut s’opérer que si au bout du chemin on doit voir quelque chose ou quelqu’un d’unique, d’exceptionnel.

Dieu? Qui donc est ce personnage qui a éprouvé, « un jour », le désir de créer la matière et de lui donner des formes multiples? Pourquoi un Dieu absolu, qui ne dépend que de Lui-même, qui ne saurait désirer quoi que ce soit en dehors de Lui-même, a éprouvé le désir d’un univers, soit d’un quelque chose distinct de Lui-Même?

Personne ne saurait répondre à une telle question sans accumuler une succession de sottises. Ces questions n’ont pas de sens du fait qu’il n’y a pas de réponse. N’est-ce pas cela même qui se nomme la foi. La foi ne sait rien. Ne peut rien prouver et surtout n’éprouve aucune curiosité. A quoi bon s’interroger? Croyons. N’est-ce pas plus simple?

Trop facile cette échappatoire.

 

 

PÂQUES: JE REFUSE LE SACRIFICE DU GOLGOTHA.

Je ne peux croire que des millions et des millions d’êtres humains pendant deux mille ans ont accepté d’être les complices d’un crime abject et sacrilège commis par le Père des cieux sur la personne sacrée de son Fils.

Sans l’accord du Père, sans sans son silence, sans son inaction, il est clair que ce sacrifice n’aurait pu avoir lieu. Il est clair que sans la passivité du Fils, sa mise à mort n’aurait pu avoir lieu. Tous étaient d’accord pour que Jésus soit sacrifié. C’est que de sa mort, si l’on en croit l’Eglise, dépend notre résurrection.

N’y a-t-il pas eu en deux mille ans un seul chrétien courageux qui ait crié:

« Dieu, je refuse d’aller au ciel au prix exorbitant du sang de ton Fils.

Nous ne sommes ni des criminels ni des cannibales.

Si tu veux nous prouver ton amour, fais preuve d’humanité. Epargne ton Fils comme le Dieu juif Yawhé, ton prédécesseur, a épargné le jeune Isaac. » 

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LEÇON DE PEINTURE : chère Mona LIsa,…..

Par la grâce de l’ordinateur et de serveurs comme GOOGlE, nous disposons de millions d’images dont nous nous servons pour en générer de nouvelles, ne faisant en ceci que répéter les pratiques des anciens. C’est dans la confrontation qui s’opère entre ce que nous savons faire et les images d’autres culturelles contemporaines ou anciennes que s’inventent des représentations inédites.

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