COMME PAR HASARD, SATAN APPARAÎT DANS LA BIBLE ALORS QUE DIEU VIENT DE CRÉER L’UNIVERS ET ADAM ET EVE, SES LOCATAIRES.
On voit trop à lire le Livre de la Genèse la cohérence entre la création de Satan et celle d’Adam et Eve.
Ce que l’on voit c’est que Dieu a besoin de Satan pour initier Adam et Eve au Mal.
Ce que l’on voit aussi c’est que l’auteur du Livre de la Genèse sait que le couple originel est incapable de penser à Mal. Ils sont incompétents pour ce qui est de commettre un acte aussi absurde que de désobéir à Dieu. Sana Satan, la cellule ouvrière du Mal, créé par Dieu en même temps que l’univers, le péché de l’homme et de la femme n’aurait jamais eu lieu.
L’Eglise n’a jamais voulu supprimer Satan. Bien au contraire, l’Eglise a besoin de Satan pour confirmer sa toute puissance et abuser des confessions.
Voyez l’importance de Satan durant le Moyen-Age.
Satan fait peur. L’image de l’Ange des Ténèbres dans les représentations jouées sur le parvis des cathédrales est indidspensable. Il terrifie les pécheurs rien qu’à voir les diablotins, serviteurs de Belzébuth, supplicier les damnés.
Personne ne semble avoir critiqué l’image que l’Eglise nous a imposé des enfers.
Satan est le Prince du Mal, le plus beau des archanges qui a défié Dieu. Il est l’initiateur d’Adam et Eve au Mal.
Il est le responsable de toutes les violences, des crimes, des guerres.
Malgré les dires de l’Eglise qui affirme que l’archange St Michel, a détruit la bête maudite en plongeant sa lance dans le corps du démon ou que la Ste Vierge a écrasé la tête du serpent sous son talon, Satan vit toujours.
C’est le cardinal LUSTIGER qui, au cours d’une émission télévisuelle consacrée à la SHOAH à laquelle participait Elie WIESEL, a affirmé que SATAN était le responsable d’Auschwitz, souhaitant ainsi innocenter le peuple allemand de ce crime abominable.
Le cardinal a utilisé la personne de Satan, toujours bien vivant et actif, espérant gommer la responsabilité du peuple allemand tout entier et de l’Eglise vaticane qui, sachant la monstruosité du crime s’est tue comme se sont tus Roosevelt, Churchill, de Gaulle.
Satan existe donc dans un placard d’où les prêtres l’extraient quand il faut camoufler un crime aussi considérable que l’extermination de six mlllions de juifs et que l’on sait que le Vatican, pour des raisons dites « diplomatiques » est demeuré muet.
Comme le dit un des cardinaux: « condamner Hitler c’est renforcer le pouvoir de Staline », or chacun doit savoir que le Pape Pie XI signa un Concordat avec le Führer qui venait d’être élu maître absolu de l’Allemagne, grâce aux voix du parti catholique le Zentrum; dirigé par Mgr KAAS, aml du cardinal Pacelli, nonce apostolique à Berlin, futur Pie XII.
Pour le Pape Pie XI, Hitler était le seul chef d’état capable d’empêcher que le communisme, arrivé au pouvoir en URSS en 1917, ne gangrène les démocraties européenes.
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Satan est l’épouvantail qu’utilisait l’Eglise pour faire peur aux chrétiens.
Les enfers étaient toujours décrits comme un lieu de supplices. Comment une telle représentation a-t-elle pu s’imposer?
La question à poser est simple:
pourquoi Satan transformerait-il les enfers en un lieu de supplices alors que Dieu lui envoie les fidèles qui ont choisi le Mal contre le Bien?
Satan n’éprouve certainement pas le désir de supplicier ceux qui ont vêcu selon ses préceptes.
Les enfers doivent nécessairement être un lieu de débauche et nullement un lieu de supplices animé par des diablotins armés de fourches pour piquer les fesses des damnés.
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